La Commission européenne a présenté, le 28 mai dernier, une communication relative à l’initiative citoyenne européenne « Un de nous », par laquelle les citoyens signataires demandaient à l’Union européenne de mettre fin au financement des activités qui impliquent la destruction d’embryons humains, en particulier dans les domaines de la recherche, de l’aide au développement et de la santé publique. Dans cette communication, elle présente sa décision de ne pas soumettre de proposition législative en réponse à l’initiative citoyenne européenne, qu’elle justifie par le fait que les Etats membres et le Parlement européen viennent seulement de débattre et de décider de la politique de l’Union dans ce domaine (cf. L’Europe en Bref n°702). (FS)